Ainsi va la vie

Surprise par ton irruption, mon regard s’est fixé sur toi avant de me laisser doucement glisser sur l’herbe ; j’ai alors senti les rayons du soleil lécher ma peau et sa douce chaleur m’envahir, je me suis lentement relâchée en fermant bientôt les yeux et j’ai posé ma main sur mon ventre brûlant en essayant de retenir la vie qui s’en échappait à mesure que mon sang se répandait ; toi mon fils que j’aimais tant, pourquoi m’avais-tu ainsi poignardée avant de t’enfuir me laissant quasiment morte ?

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